- EAN13
- 9782140322112
- Éditeur
- Éditions L'Harmattan
- Date de publication
- 21/04/2023
- Collection
- Graveurs de Mémoire
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Celui qu'on prend pour moi
<i>Un autobiographe dans tous ses états</i>
Christian LEJOSNE
Éditions L'Harmattan
Graveurs de Mémoire
Livre numérique
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 14,00
« Tout a commencé lorsque, fébrilement, j'ai appuyé sur la touche Entrée du
clavier de mon ordinateur et que s'est diffusée dans les mystérieux tuyaux de
l'Internet une première chronique commençant par ces mots : ''Ça m'est venu un
dimanche''. » Vingt ans ont passé. Le tiers des chroniques de L'Air de rien,
ici regroupées, dessine un autoportrait en pointillés : récit mosaïque écrit à
la première personne du singulier quand il n'est pas histoire collective en
Nous majuscule, légende familiale, fragments de souvenirs... Le lecteur
percevra peut-être, au fil du temps, le délitement progressif de la forme
autobiographique par l'utilisation de techniques s'apparentant davantage à la
fiction : déconstruction du moi, récit trans-personnel ou histoire écrite à la
troisième personne. Car, à force de se raconter ne finit-on pas par s'inventer
un passé et un futur, à travers des doubles de papier qui élargissent notre
moi et le démultiplient en lui ouvrant de nouveaux horizons ?
clavier de mon ordinateur et que s'est diffusée dans les mystérieux tuyaux de
l'Internet une première chronique commençant par ces mots : ''Ça m'est venu un
dimanche''. » Vingt ans ont passé. Le tiers des chroniques de L'Air de rien,
ici regroupées, dessine un autoportrait en pointillés : récit mosaïque écrit à
la première personne du singulier quand il n'est pas histoire collective en
Nous majuscule, légende familiale, fragments de souvenirs... Le lecteur
percevra peut-être, au fil du temps, le délitement progressif de la forme
autobiographique par l'utilisation de techniques s'apparentant davantage à la
fiction : déconstruction du moi, récit trans-personnel ou histoire écrite à la
troisième personne. Car, à force de se raconter ne finit-on pas par s'inventer
un passé et un futur, à travers des doubles de papier qui élargissent notre
moi et le démultiplient en lui ouvrant de nouveaux horizons ?
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