- EAN13
- 9782370150714
- Éditeur
- Coédition NENA/Xeewël GëYeen
- Date de publication
- 06/07/1905
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Toi, je
Structures et significations du recueil de poèmes
Silcarneyni Gueye, Babacar Thioune
Coédition NENA/Xeewël GëYeen
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782370150714
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
19.99
Ouvrage des éditions Xeewël GëYeen en coédition avec NENA
Ce recueil, édité le 4 octobre 1981 à compte d'auteur, est le récit poétique
de la recherche effrénée, à travers toutes les femmes prises pour celle que
l'auteur avait vue en rêve depuis son adolescence et qu'il a finalement
retrouvée. Il s'agit là d'un aveu publié par l'auteur au lendemain de son
mariage avec celle-ci, pour lui demander pardon de l'avoir trompée avant de la
rencontrer. Il est suivi d'un essai d'analyse et d'interprétation par un ami
du poète. Il s'agit dans un premier temps de « coller » aux poèmes et de nous
laisser porter par eux. Sans rien imposer aux textes et, guidé par le principe
psychanalytique de l'attention flottante, nous privilégierons l'écoute à la
parole. C'est là une attitude descriptive, poétique (au sens structuraliste du
terme), une « lecture naïve ». Mais toute lecture étant, selon la très belle
formule de Robert Escarpit, une « trahison créatrice », elle ne saurait se
suffire de descriptions de structures. Il faut aussi faire ouvre critique,
tenter par un regard « surplombant » de percer « la dimension profonde.
Ce recueil, édité le 4 octobre 1981 à compte d'auteur, est le récit poétique
de la recherche effrénée, à travers toutes les femmes prises pour celle que
l'auteur avait vue en rêve depuis son adolescence et qu'il a finalement
retrouvée. Il s'agit là d'un aveu publié par l'auteur au lendemain de son
mariage avec celle-ci, pour lui demander pardon de l'avoir trompée avant de la
rencontrer. Il est suivi d'un essai d'analyse et d'interprétation par un ami
du poète. Il s'agit dans un premier temps de « coller » aux poèmes et de nous
laisser porter par eux. Sans rien imposer aux textes et, guidé par le principe
psychanalytique de l'attention flottante, nous privilégierons l'écoute à la
parole. C'est là une attitude descriptive, poétique (au sens structuraliste du
terme), une « lecture naïve ». Mais toute lecture étant, selon la très belle
formule de Robert Escarpit, une « trahison créatrice », elle ne saurait se
suffire de descriptions de structures. Il faut aussi faire ouvre critique,
tenter par un regard « surplombant » de percer « la dimension profonde.
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