- EAN13
- 9782710364801
- Éditeur
- Table Ronde
- Date de publication
- 22/03/2010
- Collection
- Vermillon
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Table Ronde 18,30
Un écrivain, et rien d'autre, ainsi se définit Denis Tillinac, en épilogue à
ce récit d'une balade en zigzags sur les routes de son imaginaire. On le
cherche dans sa maison d'édition au quartier Latin, on le surprend en Afrique
où Kabila doit le rejoindre. On le croise en terre d'Ovalie avec Pierre
Dauzier et André Boniface, on l'aperçoit à l'Élysée en conciliabule avec
Chirac. Mais comme il se joue des frontières, le voilà dans l'avion de Sarkozy
avant de reprendre son train pour la Corrèze. Puis de repartir à un autre bout
de ses mondes intimes. Tout le passionne, surtout les coulisses et surtout les
irréguliers. D'où ces scènes de genre et cette galerie de portraits, crayonnés
avec autant d'ironie que de tendresse. Car si Denis Tillinac n'aime pas son
époque, il a de la sympathie pour les personnages qui tâtonnent aux marches de
la gloire. Ou aux frontrières du désespoir. Entre les lignes d'une prose de
styliste, miroir parfois cruel des mœurs contemporaines, on perçoit les
désarrois d'un écrivain que l'Histoire a floué. Même s'il s'est bien amusé.
ce récit d'une balade en zigzags sur les routes de son imaginaire. On le
cherche dans sa maison d'édition au quartier Latin, on le surprend en Afrique
où Kabila doit le rejoindre. On le croise en terre d'Ovalie avec Pierre
Dauzier et André Boniface, on l'aperçoit à l'Élysée en conciliabule avec
Chirac. Mais comme il se joue des frontières, le voilà dans l'avion de Sarkozy
avant de reprendre son train pour la Corrèze. Puis de repartir à un autre bout
de ses mondes intimes. Tout le passionne, surtout les coulisses et surtout les
irréguliers. D'où ces scènes de genre et cette galerie de portraits, crayonnés
avec autant d'ironie que de tendresse. Car si Denis Tillinac n'aime pas son
époque, il a de la sympathie pour les personnages qui tâtonnent aux marches de
la gloire. Ou aux frontrières du désespoir. Entre les lignes d'une prose de
styliste, miroir parfois cruel des mœurs contemporaines, on perçoit les
désarrois d'un écrivain que l'Histoire a floué. Même s'il s'est bien amusé.
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