- EAN13
- 9782865772957
- Éditeur
- Éditions Fanlac
- Date de publication
- 2000
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782865772957
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
12.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
Cette correspondance regroupe plus d’une centaine de lettres inédites de 1952
à 1971, année de la mort de l’auteur. Elle est accompagnée d’un texte de
présentation, Lettre à un ami, et d’une postface, Le pacte secret, de Paul
Placet, ainsi que de nombreuses notes et références à d’autres
correspondances. L’ampleur de la période et la continuité du lien qui unit les
deux hommes font de ces pages un événement pour comprendre l’œuvre complexe et
parfois réduite à son aspect marginal. Elles éclairent, nuancent et renforcent
la vision des livres et des lieux : le Mont Athos, Domme, le désert, la Vézère
et l’Afrique.
Il y a chez moi une fatalité de voyage et d’instabilité, d’autant plus grande
que, mettant le meilleur de ma vie dans mes livres ou dans ma peinture, je ne
perds rien en brisant tout derrière moi ; j’emporte les livres et les tableaux
comme les nomades emportent leurs dieux…
François Augiéras à Paul Placet
décembre 1962
à 1971, année de la mort de l’auteur. Elle est accompagnée d’un texte de
présentation, Lettre à un ami, et d’une postface, Le pacte secret, de Paul
Placet, ainsi que de nombreuses notes et références à d’autres
correspondances. L’ampleur de la période et la continuité du lien qui unit les
deux hommes font de ces pages un événement pour comprendre l’œuvre complexe et
parfois réduite à son aspect marginal. Elles éclairent, nuancent et renforcent
la vision des livres et des lieux : le Mont Athos, Domme, le désert, la Vézère
et l’Afrique.
Il y a chez moi une fatalité de voyage et d’instabilité, d’autant plus grande
que, mettant le meilleur de ma vie dans mes livres ou dans ma peinture, je ne
perds rien en brisant tout derrière moi ; j’emporte les livres et les tableaux
comme les nomades emportent leurs dieux…
François Augiéras à Paul Placet
décembre 1962
S'identifier pour envoyer des commentaires.