- EAN13
- 9782246829850
- ISBN
- 978-2-246-82985-0
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 20/09/2023
- Collection
- Les Cahiers rouges (1)
- Nombre de pages
- 152
- Dimensions
- 19 x 12 x 0,9 cm
- Poids
- 136 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Voici le deuxième tome des mémoires de l’excentrique baron Berners, tout aussi inédit que le premier, Une enfance de château, précédemment paru dans les Cahiers rouges. Comment décide-t-on de la carrière d'un futur Lord anglais ? Quel enseignement reçoit un « fils de famille » à l'aube du XXe siècle ? Quelle place réserve-t-on à un adolescent à l'âme artistique dans la public school la plus réputée du Royaume-Uni ? Lord Berners, musicien, peintre, écrivain, excentrique, avant-gardiste, y répond dans Un château au loin.
A la toute fin du XIXe siècle, le jeune Gerald Hugh Tyrwhitt-Wilson entre à Eton. Dans ce collège de garçons marqué par la virilité, football, cricket et aviron sont peu propices aux arts. Le déjà excentrique Gerald décrit sa survie pleine de flegme dans un environnement qu’on dit civilisé. Les élèves ont beau être « fils de », ils ne sont pas moins brutaux. Les professeurs, plus farfelus les uns que les autres, ne sont pas meilleurs pour autant. Passe l’ombre de de la reine Victoria et de tout un peuple d’aristocrates dont Lord Berners dresse de succulents portraits satiriques. C’est aussi l’âge des grandes amitiés, de la découverte de l’homosexualité, des premières émotions artistiques : l’irruption de Wagner, la pratique de la peinture, les premiers concerts de piano en public d’un jeune compositeur qui sera admiré de Stravinsky. Tiraillé entre un enseignement sclérosé et l’aspiration à l’art, l'adolescent forge son tempérament et ses goûts. Un livre pince-sans-rire et profond à la fois, piquant, plein d’humour et de passion esthétique. Un des mémorialistes anglais majeurs du XXe siècle.
Traduit de l’anglais par Valentin Grimaud.
A la toute fin du XIXe siècle, le jeune Gerald Hugh Tyrwhitt-Wilson entre à Eton. Dans ce collège de garçons marqué par la virilité, football, cricket et aviron sont peu propices aux arts. Le déjà excentrique Gerald décrit sa survie pleine de flegme dans un environnement qu’on dit civilisé. Les élèves ont beau être « fils de », ils ne sont pas moins brutaux. Les professeurs, plus farfelus les uns que les autres, ne sont pas meilleurs pour autant. Passe l’ombre de de la reine Victoria et de tout un peuple d’aristocrates dont Lord Berners dresse de succulents portraits satiriques. C’est aussi l’âge des grandes amitiés, de la découverte de l’homosexualité, des premières émotions artistiques : l’irruption de Wagner, la pratique de la peinture, les premiers concerts de piano en public d’un jeune compositeur qui sera admiré de Stravinsky. Tiraillé entre un enseignement sclérosé et l’aspiration à l’art, l'adolescent forge son tempérament et ses goûts. Un livre pince-sans-rire et profond à la fois, piquant, plein d’humour et de passion esthétique. Un des mémorialistes anglais majeurs du XXe siècle.
Traduit de l’anglais par Valentin Grimaud.
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