- EAN13
- 3328140024494
- Éditeur
- Des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 20/10/2020
- Collection
- La Bibliothèque des voix
- Langue
- français
- Langue d'origine
- russe
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le Violon de Rothschild, suivi de La Princesse
suivi de La Princesse
Anton Tchekhov
Des femmes-Antoinette Fouque
La Bibliothèque des voix
Livre numérique
Iakov, fabricant de cercueils et violoniste occasionnel, éprouve une réelle
aversion pour le jeune flûtiste juif Rothschild. Marfa, sa femme, évoque les
rares instants de bonheur auprès de leur petite fille morte des années
auparavant, dont il a oublié jusqu’à l’existence... Seul, il songe à sa vie,
gâchée, et tout lui apparaît n’avoir été que perte. Quant à la princesse Véra
Gavrilovna, elle a coutume de prendre sa retraite estivale dans un monastère,
pour y « soigner son âme ». Entourée de tous les égards dus à son rang, elle
croit éveiller tendresse et admiration grâce à la générosité dont elle se
targue. « Il arrive parfois qu’un rayon de soleil se glisse dans la sombre
cellule d’un ermite plongé dans la prière ou qu’un oiseau se pose sur sa
fenêtre et se mette à chanter. […] La princesse avait l’impression qu’elle
apportait exactement du dehors la même joie que le rai de lumière ou que
l’oiseau. […] En la regardant, chacun d’eux devait se dire : “Dieu nous a
envoyé un ange…”» A. T.
aversion pour le jeune flûtiste juif Rothschild. Marfa, sa femme, évoque les
rares instants de bonheur auprès de leur petite fille morte des années
auparavant, dont il a oublié jusqu’à l’existence... Seul, il songe à sa vie,
gâchée, et tout lui apparaît n’avoir été que perte. Quant à la princesse Véra
Gavrilovna, elle a coutume de prendre sa retraite estivale dans un monastère,
pour y « soigner son âme ». Entourée de tous les égards dus à son rang, elle
croit éveiller tendresse et admiration grâce à la générosité dont elle se
targue. « Il arrive parfois qu’un rayon de soleil se glisse dans la sombre
cellule d’un ermite plongé dans la prière ou qu’un oiseau se pose sur sa
fenêtre et se mette à chanter. […] La princesse avait l’impression qu’elle
apportait exactement du dehors la même joie que le rai de lumière ou que
l’oiseau. […] En la regardant, chacun d’eux devait se dire : “Dieu nous a
envoyé un ange…”» A. T.
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