- EAN13
- 9782213667607
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 17/01/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782213667607
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Dès 1941, une poignée d’hommes, dont Raphael Lemkin, un juriste juif, et Jan
Karski, un catholique résistant, perçurent l’ampleur de la destruction des
Juifs au sein des crimes de la Seconde Guerre mondiale. Mais ils ne
rencontrèrent qu’incompréhension et rejet.
Forte de son regard de spécialiste de la Grande Guerre, Annette Becker éclaire
d’une façon inédite l’un des points les plus sensibles de l’histoire :
comment convaincre de l’impensable ? Pendant la Première Guerre mondiale, les
Arméniens avaient déjà été victimes d’une extermination comparable. Pourquoi
alors n’a-t-on pas voulu voir ce que Lemkin cherchait à nommer et faire
reconnaître depuis les années vingt et trente jusqu’à l’adoption par l’ONU en
1948 de la « Convention pour la prévention et la punition du crime de
génocide » ?
Ce livre replace dans le temps long, jusqu’aux films et fictions littéraires
récentes – telles celles de Claude Lanzmann ou Yannick Haenel , le combat de
ces hommes qui, du génocide des Arméniens à celui des Juifs, se sont battus
pour faire voir au monde et condamner l’abominable. Depuis 1945, au vu de tant
d’événements tragiques, avons-nous réellement compris leurs messages ?Dès
1941, une poignée d’hommes, dont Raphael Lemkin, un juriste juif, et Jan
Karski, un catholique résistant, perçurent l’ampleur de la destruction des
Juifs au sein des crimes de la Seconde Guerre mondiale. Mais ils ne
rencontrèrent qu’incompréhension et rejet.
Forte de son regard de spécialiste de la Grande Guerre, Annette Becker éclaire
d’une façon inédite l’un des points les plus sensibles de l’histoire :
comment convaincre de l’impensable ? Pendant la Première Guerre mondiale, les
Arméniens avaient déjà été victimes d’une extermination comparable. Pourquoi
alors n’a-t-on pas voulu voir ce que Lemkin cherchait à nommer et faire
reconnaître depuis les années vingt et trente jusqu’à l’adoption par l’ONU en
1948 de la « Convention pour la prévention et la punition du crime de
génocide » ?
Ce livre replace dans le temps long, jusqu’aux films et fictions littéraires
récentes – telles celles de Claude Lanzmann ou Yannick Haenel , le combat de
ces hommes qui, du génocide des Arméniens à celui des Juifs, se sont battus
pour faire voir au monde et condamner l’abominable. Depuis 1945, au vu de tant
d’événements tragiques, avons-nous réellement compris leurs messages ?
Karski, un catholique résistant, perçurent l’ampleur de la destruction des
Juifs au sein des crimes de la Seconde Guerre mondiale. Mais ils ne
rencontrèrent qu’incompréhension et rejet.
Forte de son regard de spécialiste de la Grande Guerre, Annette Becker éclaire
d’une façon inédite l’un des points les plus sensibles de l’histoire :
comment convaincre de l’impensable ? Pendant la Première Guerre mondiale, les
Arméniens avaient déjà été victimes d’une extermination comparable. Pourquoi
alors n’a-t-on pas voulu voir ce que Lemkin cherchait à nommer et faire
reconnaître depuis les années vingt et trente jusqu’à l’adoption par l’ONU en
1948 de la « Convention pour la prévention et la punition du crime de
génocide » ?
Ce livre replace dans le temps long, jusqu’aux films et fictions littéraires
récentes – telles celles de Claude Lanzmann ou Yannick Haenel , le combat de
ces hommes qui, du génocide des Arméniens à celui des Juifs, se sont battus
pour faire voir au monde et condamner l’abominable. Depuis 1945, au vu de tant
d’événements tragiques, avons-nous réellement compris leurs messages ?Dès
1941, une poignée d’hommes, dont Raphael Lemkin, un juriste juif, et Jan
Karski, un catholique résistant, perçurent l’ampleur de la destruction des
Juifs au sein des crimes de la Seconde Guerre mondiale. Mais ils ne
rencontrèrent qu’incompréhension et rejet.
Forte de son regard de spécialiste de la Grande Guerre, Annette Becker éclaire
d’une façon inédite l’un des points les plus sensibles de l’histoire :
comment convaincre de l’impensable ? Pendant la Première Guerre mondiale, les
Arméniens avaient déjà été victimes d’une extermination comparable. Pourquoi
alors n’a-t-on pas voulu voir ce que Lemkin cherchait à nommer et faire
reconnaître depuis les années vingt et trente jusqu’à l’adoption par l’ONU en
1948 de la « Convention pour la prévention et la punition du crime de
génocide » ?
Ce livre replace dans le temps long, jusqu’aux films et fictions littéraires
récentes – telles celles de Claude Lanzmann ou Yannick Haenel , le combat de
ces hommes qui, du génocide des Arméniens à celui des Juifs, se sont battus
pour faire voir au monde et condamner l’abominable. Depuis 1945, au vu de tant
d’événements tragiques, avons-nous réellement compris leurs messages ?
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