- EAN13
- 9782402102285
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Martelle)
- Date de publication
- 31/12/1993
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Hommes et combats dans la Loire (1939-1945)
Albert Oriol-Maloire
FeniXX réédition numérique (Martelle)
Livre numérique
Albert Oriol-Maloire apporte ici une somme de témoignages inédits. Résistant
ayant appartenu à l’Armée Secrète de la Loire, d’abord à Saint-Étienne puis à
Roanne (avant la dislocation d’un réseau « Jeunes de l’A.S. » qu’il animait),
il devient responsable d’un groupe de clandestins réfugiés en Haute-Loire
(Boussoulet) dans le Meygal. Revenu sur son département d’origine lors du
débarquement en Normandie, ce groupe prend le nom de maquis « G.M.O. 18 juin
». Le 5 juillet 1994, sur les hauteurs de Saint-Maurice-en-Gourgois, un
détachement allemand tente d’anéantir cette unité. Après une vive résistance,
celle-ci décroche en ordre. Ce premier face-à-face sur le département, avec
les forces d’occupation, confère au Groupe Mobile « 18 juin » ses lettres de
noblesse qu’il honorera à Pichillon, Estivareilles, Pont-Rompu, Givors (Rhône)
et lors de la marche sur Lyon puis sur les Alpes. Mais au-delà de l’aspect
narratif de ces événements qu’il a vécu, l’auteur a tenu à y associer maints
témoins. Et ces récits confèrent à cet ouvrage particulier, un côté à la fois
poignant et empreint d’une chaleur humaine inattendue…
ayant appartenu à l’Armée Secrète de la Loire, d’abord à Saint-Étienne puis à
Roanne (avant la dislocation d’un réseau « Jeunes de l’A.S. » qu’il animait),
il devient responsable d’un groupe de clandestins réfugiés en Haute-Loire
(Boussoulet) dans le Meygal. Revenu sur son département d’origine lors du
débarquement en Normandie, ce groupe prend le nom de maquis « G.M.O. 18 juin
». Le 5 juillet 1994, sur les hauteurs de Saint-Maurice-en-Gourgois, un
détachement allemand tente d’anéantir cette unité. Après une vive résistance,
celle-ci décroche en ordre. Ce premier face-à-face sur le département, avec
les forces d’occupation, confère au Groupe Mobile « 18 juin » ses lettres de
noblesse qu’il honorera à Pichillon, Estivareilles, Pont-Rompu, Givors (Rhône)
et lors de la marche sur Lyon puis sur les Alpes. Mais au-delà de l’aspect
narratif de ces événements qu’il a vécu, l’auteur a tenu à y associer maints
témoins. Et ces récits confèrent à cet ouvrage particulier, un côté à la fois
poignant et empreint d’une chaleur humaine inattendue…
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