- EAN13
- 9782830951820
- Éditeur
- Labor et Fides
- Date de publication
- 28/10/2020
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Penser les fondements philosophiques de la conversion écologique
Pour une écologie de la résonance
Isabelle Priaulet
Labor et Fides
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Aide EAN13 : 9782830951820
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Ce livre entend poser les fondements philosophiques d’une « conversion
écologique » en éclairant la dimension ontologique de la crise écologique.
En s’appuyant sur des auteurs tels que Heidegger, Hans Jonas, Günther Anders
et Jacques Ellul, l’auteure montre, dans un premier temps, la nécessité d’une
conversion face au péril métaphysique que représente la Technique comme
dévoiement de notre « être-au-monde ».
La seconde partie consiste à poser les fondements philosophiques et religieux
du concept de conversion. De la metanoia platonicienne aux thérapies de l’âme
stoïciennes et épicuriennes, l’auteur explore la place de la connaissance de
la physis dans le « retour à Soi » afin de faire émerger la possibilité et
les modalités d’une « conversion écologique ».
La dernière partie, plus spécifiquement consacrée à l’écologie, utilise les
modalités de la conversion écologique esquissées avec les sagesses grecques et
chrétiennes pour penser un changement de notre affect du monde et défendre
l’hypothèse d’une « empathie universelle » en affinité avec la philosophie
merleau-pontienne de la « chair du monde ».
À travers deux grands courants de l’écologie que sont l’écologie profonde et
la wilderness, l’auteure jette les bases d’une ontologie relationnelle jusqu’à
penser, contre toute tentation catastrophiste, une « échologie de la Joie »,
une spiritualité de la résonance, en dialogue avec les traditions asiatiques
écologique » en éclairant la dimension ontologique de la crise écologique.
En s’appuyant sur des auteurs tels que Heidegger, Hans Jonas, Günther Anders
et Jacques Ellul, l’auteure montre, dans un premier temps, la nécessité d’une
conversion face au péril métaphysique que représente la Technique comme
dévoiement de notre « être-au-monde ».
La seconde partie consiste à poser les fondements philosophiques et religieux
du concept de conversion. De la metanoia platonicienne aux thérapies de l’âme
stoïciennes et épicuriennes, l’auteur explore la place de la connaissance de
la physis dans le « retour à Soi » afin de faire émerger la possibilité et
les modalités d’une « conversion écologique ».
La dernière partie, plus spécifiquement consacrée à l’écologie, utilise les
modalités de la conversion écologique esquissées avec les sagesses grecques et
chrétiennes pour penser un changement de notre affect du monde et défendre
l’hypothèse d’une « empathie universelle » en affinité avec la philosophie
merleau-pontienne de la « chair du monde ».
À travers deux grands courants de l’écologie que sont l’écologie profonde et
la wilderness, l’auteure jette les bases d’une ontologie relationnelle jusqu’à
penser, contre toute tentation catastrophiste, une « échologie de la Joie »,
une spiritualité de la résonance, en dialogue avec les traditions asiatiques
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