- EAN13
- 9782894197240
- Éditeur
- Les Herbes Rouges
- Date de publication
- 18/02/2020
- Collection
- Territoires
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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À la hauteur de Grand Central Station je me suis assise et j'ai pleuré
Elizabeth Smart
Les Herbes Rouges
Territoires
Livre numérique
C’est en 1945 que Smart publie À la hauteur de Grand Central Station je me
suis assise et j’ai pleuré, récit-poème bref et incantatoire qui met en scène
l’éternel triangle : l’amant adoré, la femme délaissée et la maîtresse qui
exulte, souffre et, surtout, écrit. Chaque génération éprouve, semble-t-il, le
besoin de revenir à cette femme difficile, ardente, exemplaire et seule. Lori
Saint-Martin, Le Devoir À l’orée de ce livre en forme de lamentation amoureuse
et perçante, ce constat : « L’amour me possède et je n’ai plus de choix. »
Marie-Hélène Poitras, Voir Qui aurait pu croire que le langage pourrait
arriver à de tels sommets? Qui aurait cru que des grognements feraient
renaître ainsi le miracle du monde? Yann Martel, 101 lettres à un premier
ministre Je ne crois pas qu’on ait jamais exprimé plus fortement la grandeur
et la déchéance de l’amour, de l’ivresse des sens jusqu’à ses ultimes
conséquences biologiques et sociales. Louis Hamelin, Le Devoir
suis assise et j’ai pleuré, récit-poème bref et incantatoire qui met en scène
l’éternel triangle : l’amant adoré, la femme délaissée et la maîtresse qui
exulte, souffre et, surtout, écrit. Chaque génération éprouve, semble-t-il, le
besoin de revenir à cette femme difficile, ardente, exemplaire et seule. Lori
Saint-Martin, Le Devoir À l’orée de ce livre en forme de lamentation amoureuse
et perçante, ce constat : « L’amour me possède et je n’ai plus de choix. »
Marie-Hélène Poitras, Voir Qui aurait pu croire que le langage pourrait
arriver à de tels sommets? Qui aurait cru que des grognements feraient
renaître ainsi le miracle du monde? Yann Martel, 101 lettres à un premier
ministre Je ne crois pas qu’on ait jamais exprimé plus fortement la grandeur
et la déchéance de l’amour, de l’ivresse des sens jusqu’à ses ultimes
conséquences biologiques et sociales. Louis Hamelin, Le Devoir
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