- EAN13
- 9782351760727
- ISBN
- 978-2-35176-072-7
- Éditeur
- GALAADE EDITION
- Date de publication
- 25/10/2010
- Collection
- Essais
- Nombre de pages
- 206
- Dimensions
- 21,6 x 14,1 x 1,7 cm
- Poids
- 263 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- turc
- Code dewey
- 327.561
- Fiches UNIMARC
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Chroniques d'un journaliste assassiné
De Hrant Dink
Traduit par Haldun Bayrı, Marie-Michèle Martinet
Galaade Edition
Essais
Hrant Dink
Chroniques d’un journaliste assassiné
Essai traduit du turc par Haldun Bayri et Marie-Michèle Martinet
« Nous avons tué un homme dont nous ne pouvions accepter les idées. » – Orhan Pamuk
« Je suis de Turquie. Arménien. Anatolien jusqu’à la moelle. C’est ici que je veux poursuivre le combat. Car ce n’est pas seulement mon combat. C’est le combat de tous ceux qui veulent la démocratisation de la Turquie. Si je me rends et que je quitte le pays, ce sera la honte pour tous. » – Hrant Dink
Fondateur et rédacteur d’Agos, le seul hebdomadaire bilingue turco-arménien de Turquie, Hrant Dink a payé le prix de ce combat le 19 janvier 2007. Il est assassiné pour avoir prôné le dialogue et la réconciliation entre la Turquie et l’Arménie, et pour avoir défendu les valeurs de toute démocratie.
Ce livre posthume est le reflet d’un parcours et d’une expérience : le seul projet qui l’anime « vise à transformer l’intérêt nostalgique en prise de conscience démocratique ». Il nous invite à réfléchir à ce que pourra être demain la Turquie dans l’Europe. Ainsi la voix de Hrant Dink n’a jamais été autant d’actualité.
Né à Malatya en 1954 de parents arméniens, Hrant Dink est arrivé à Istanbul à l’âge de sept ans. Il y a poursuivi des études universitaires et s’est engagé dans des cercles politiques de gauche. En 1996, Hrant Dink fonde Agos.
Récompensé notamment du prix Henri Nannen pour la liberté de la presse, il a toujours milité pour la démocratie et la possibilité d’une réconciliation nationale.
« L'esprit de Hrant continue d'œuvrer auprès d'une fraction courageuse de l'intelligentsia turque. » – L’Express, janvier 2010
« La mort de ce militant de la réconciliation a ému des milliers de Turcs. » – Le Monde, février 2009
Chroniques d’un journaliste assassiné
Essai traduit du turc par Haldun Bayri et Marie-Michèle Martinet
« Nous avons tué un homme dont nous ne pouvions accepter les idées. » – Orhan Pamuk
« Je suis de Turquie. Arménien. Anatolien jusqu’à la moelle. C’est ici que je veux poursuivre le combat. Car ce n’est pas seulement mon combat. C’est le combat de tous ceux qui veulent la démocratisation de la Turquie. Si je me rends et que je quitte le pays, ce sera la honte pour tous. » – Hrant Dink
Fondateur et rédacteur d’Agos, le seul hebdomadaire bilingue turco-arménien de Turquie, Hrant Dink a payé le prix de ce combat le 19 janvier 2007. Il est assassiné pour avoir prôné le dialogue et la réconciliation entre la Turquie et l’Arménie, et pour avoir défendu les valeurs de toute démocratie.
Ce livre posthume est le reflet d’un parcours et d’une expérience : le seul projet qui l’anime « vise à transformer l’intérêt nostalgique en prise de conscience démocratique ». Il nous invite à réfléchir à ce que pourra être demain la Turquie dans l’Europe. Ainsi la voix de Hrant Dink n’a jamais été autant d’actualité.
Né à Malatya en 1954 de parents arméniens, Hrant Dink est arrivé à Istanbul à l’âge de sept ans. Il y a poursuivi des études universitaires et s’est engagé dans des cercles politiques de gauche. En 1996, Hrant Dink fonde Agos.
Récompensé notamment du prix Henri Nannen pour la liberté de la presse, il a toujours milité pour la démocratie et la possibilité d’une réconciliation nationale.
« L'esprit de Hrant continue d'œuvrer auprès d'une fraction courageuse de l'intelligentsia turque. » – L’Express, janvier 2010
« La mort de ce militant de la réconciliation a ému des milliers de Turcs. » – Le Monde, février 2009
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