- EAN13
- 9782911253508
- ISBN
- 978-2-911253-50-8
- Éditeur
- CVRH – Centre vendéen de recherches historiques
- Date de publication
- 04/10/2011
- Collection
- MEMOIRES DE VEN
- Nombre de pages
- 256
- Dimensions
- 24,5 x 17 x 1 cm
- Poids
- 501 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 944.16906092
- Fiches UNIMARC
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La Vie quotidienne dans le marais poitevin au XIXe siècle
Manuscrits de l'abbé Pérocheau (1843-1856)
De Joseph Pérocheau
Édité par Jean Rousseau
CVRH – Centre vendéen de recherches historiques
Memoires De Ven
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Secrets et légendes du Marais poitevin
Le Marais mouillé au milieu du XIXe siècle: une nature que l'on croirait vierge et qu'irrigue un dédale de canaux. Là circule un peuple de huttiers, paraît-il issu des colliberts, libre de liens, braconnier dans l'âme et porté à cacher les rebelles.
Une terre de mission aussi, pour l'abbé Joseph Pérocheau, qui hésite à rejoindre sa nouvelle paroisse du Gué-de-Velluire. Et d'y découvrir une population prompte à rejouer les luttes toutes fraîches de la Révolution et de la Guerre de Vendée. Les électeurs de L'Île-d'Elle allant voter « garde nationale en tête, fusil au bras et tambour battant ». Même dans sa paroisse, il s'en trouve encore pour vouer les riches à la guillotine et vouloir « en finir avec les calotins ». Quant au Gué, il passe pour « une taupinière de prêtres ».
Mais pourquoi donc cette exception?
Le Marais mouillé au milieu du XIXe siècle: une nature que l'on croirait vierge et qu'irrigue un dédale de canaux. Là circule un peuple de huttiers, paraît-il issu des colliberts, libre de liens, braconnier dans l'âme et porté à cacher les rebelles.
Une terre de mission aussi, pour l'abbé Joseph Pérocheau, qui hésite à rejoindre sa nouvelle paroisse du Gué-de-Velluire. Et d'y découvrir une population prompte à rejouer les luttes toutes fraîches de la Révolution et de la Guerre de Vendée. Les électeurs de L'Île-d'Elle allant voter « garde nationale en tête, fusil au bras et tambour battant ». Même dans sa paroisse, il s'en trouve encore pour vouer les riches à la guillotine et vouloir « en finir avec les calotins ». Quant au Gué, il passe pour « une taupinière de prêtres ».
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